Résumé :
Avec l’anthropocène et les défis contemporains auxquels sont confrontées nos sociétés, les manières dont on habite la Terre sont légitimement et quotidiennement questionnées. L’étude du paysage en classe pourrait se révéler précieuse pour comprendre, d’un point de vue politique en particulier, les enjeux de nos modes d’habiter. Il s’agit dans cet article de rendre compte, à partir d’une étude de cas concrète, de la dimension heuristique de l’expérience du paysage in situ et de son potentiel pour l’éducation politique.